Sur le fil twitter du quotidien La Provence, on lit que les lycéens ont bloqué mardi 20 novembre un rond-point, à Salon de Provence, en soutien aux « gilets jaunes » :
🔴 À #Salon, le rond-point face au cinéma Les Arcades est bloqué par les lycéens en soutien aux gilets jaunes pic.twitter.com/TSs277eFri
— La Provence (@laprovence) 20 novembre 2018
Sur Francetvinfo.fr où ce tweet est cité, la question est posée : les syndicats lycéens et étudiants vont-ils rejoindre le mouvement des « gilets jaunes » ? Le mouvement des « gilets jaunes » a appelé à une grande mobilisation samedi 24 novembre à Paris, mais comment se situent les syndicat lycéens et étudiants par rapport au mouvement ?
Pouvoir d’achat
Francetvinfo.fr indique que l’UNL (Union nationale lycéenne) appelle à une journée d’actions et de blocages vendredi 30 novembre.
Outre des revendications contre « la politique ultra-libérale portée par le président de la République », le syndicat lycéen dénonce « le Service national universel, pour lequel l’État débourse trois milliards d’euros, alors « qu’il est rejeté par l’ensemble des organisations de jeunesses françaises », lit-on BFMTV.com
L’UNL-SD, deuxième syndicat lycéen (né d’une scission de l’UNL), appelle de son côté à bloquer les lycées jeudi 29 novembre. Le syndicat explique à Francetvinfo.fr que le « point de convergence avec les « gilets jaunes », c’est celui du pouvoir d’achat. »
Les syndicats étudiants Fage et UNEF par contre, n’appellent pas à rejoindre le mouvement.
Cet épisode conduit à solliciter que chaque enseignant chaque citoyen se pose la question du financement des depenses publiques et de l’unicité du budget .
De la necessité de la fiscalité , le tout dans un but d’equilibre social qui ne penalise pas les plus faible, mais tende vers une egalité
le chemin de toute violence etant à ecarter