Il se sera fait attendre : le calendrier scolaire pour l’année 2023-2024 a été officialisé le 8 décembre 2022. Les calendriers 2024-2025 et 2025-2026 sont également disponibles en ligne.
La prérentrée des enseignants se tiendra le vendredi 1er septembre 2023, suivie par la rentrée scolaire le lundi 4 septembre. Les vacances de la Toussaint et celles de Noël, dont les dates sont communes à toutes les zones, auront lieu respectivement du 21 octobre au 6 novembre et du 23 décembre au lundi 8 janvier 2024.
Les congés d’hiver et de printemps sont quant à eux toujours soumis à un zonage en trois secteurs : du 10 au 26 février 2024 et du 6 au 22 avril pour la zone C, du 17 février au 4 mars puis du 13 au 29 avril pour la zone A, et du 24 février au 11 mars et du 20 avril au 6 mai pour la zone B.
La fin de l’année scolaire aura lieu le 6 juillet 2024.
Des périodes de cours trop longues ?
Cette même version du calendrier avait été rejetée par le Conseil Supérieur de l’Education – organisme consultatif – qui avait pointé des déséquilibres, dont une période de cours de onze semaines d’affilée pour la zone C entre les vacances de printemps et d’été. Le CSE avait accusé le ministère de privilégier les intérêts du secteur touristique. Des critiques qui sont revenues sur les réseaux sociaux après la publication du calendrier officiel :
2023/2024 La zone B rentrera des vacances de printemps pour 2 jours et enchaînera sur le pont de l’Ascension.
— Xavier Racine (@racine_xavier) December 8, 2022
Ne pourrait-on pas envisager de partir en vacances 2 jours plus tard et de ne reprendre que le lundi 13 mai ?
Il est encore temps de prendre une bonne décision. https://t.co/gFQiiLExKz
Image homepage : Getty
J’avoue avoir toujours eu beaucoup de mal à comprendre pourquoi certaines périodes de vacances sont soumises au zonage, et d’autres non. Tout comme monsieur Racine que vous citez, je ne vois pas nécessairement l’intérêt de faire revenir des élèves pour deux jours, pour enchainer sur une demi-semaine de libre par la suite. Quant aux vacances elles-mêmes, sont-elles identiques pour les élèves de collège-lycée et ceux d’école primaire ?