01 juillet 2022 : Mme Anne Genetet, députée de la 11e circonscription des Français établis hors de France (99) dans l’hémicycle. XVIe législature. Photo libre de droits, source : annegenetet.fr/photos-libres-de-droits/

Michel Barnier, Premier ministre, a fait l’annonce du nouveau gouvernement samedi 21 septembre 2024. La nouvelle ministre de l’Education nationale est Anne Genetet, ex-députée « Ensemble pour la République » de la 11e circonscription des Français établis hors de France.

On peut lire son parcours sur son site : « originaire de Paris et installée à Singapour depuis 2005, elle est médecin de formation« . « Elue députée en juin 2017 pour représenter la 11e circonscription des Français à l’étranger (Asie, Océanie et Europe orientale), elle a été réélue en 2022 puis en 2024 ». On lit par ailleurs qu’ « elle a défendu l’enseignement en français à l’étranger et a été rapporteur d’une réforme concernant la gouvernance de l’Agence pour l’Enseignement Français à l’Étranger. »

Les salaires : le sujet brûlant

Dans un tweet publié le 21 septembre, suite à sa nomination, elle promet de « se mettre au travail pour les élèves, leurs parents, leurs enseignants, avec sérieux et détermination ».

Les enseignants lui font part de leurs revendications et des sujets brûlants à ne pas esquiver :

Une priorité pour la Société des Agrégés

Dans un communiqué publié ce lundi 23 septembre, la Société des Agrégés demande également à la nouvelle ministre de l’Education nationale « d’instaurer un plan pluriannuel de revalorisation des traitements« . L’association demande par ailleurs à Anne Genetet « l’ajournement de la réforme projetée de la formation initiale et du recrutement » et « l’abrogation du décret modifiant le statut particulier des professeurs agrégés, qui confie aux recteurs d’académie certains actes de gestion du corps des professeurs agrégés ». Ce qui pourrait être, d’après la Société des Agrégés, « des premiers signes de bonne volonté. »